« Ça m’attriste énormément » : cette rare confidence de la star de Squid Game

Il n’a pas fallu longtemps à Squid Game pour s’imposer comme l’un des plus gros succès de Netflix. La série a très vite explosé les compteurs sur la plateforme, au point même de faire chuter Stranger Things de son trône. En novembre 2021, le service de streaming révélait que Squid Game avait cumulé pas moins de 1,65 milliard d’heures de visionnage seulement 28 jours après sa mise en ligne, soit une performance 2,6 fois supérieure à la saison 1 de La Chronique des Bridgerton. Un joli pactole pour Netflix qui aurait déboursé 21,4 millions de dollars pour acquérir la série coréenne que personne n’avait vu venir.

Ce succès phénoménal ne donne pourtant pas le sourire à Lee Jung-jae. En interview avec le Guardian ce vendredi 4 novembre, la star de Squid Game se confie sur ses sentiments mitigés. « Oui, c’est formidable que le public consomme du contenu coréen dans le monde entier, explique-t-il. Mais quand on pense aux thèmes de Squid Game – jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour accumuler des richesses personnelles ; les limites auxquelles les gens sont contraints – le fait qu’il ait trouvé un écho auprès d’un si grand nombre de personnes dans le monde a de quoi inquiéter. On a l’impression que c’est la réalité pour beaucoup de gens dans le monde. Et ça me rend extrêmement triste. » Lee Jung-jae voit aujourd’hui le monde d’un autre oeil.

Pourquoi Squid Game va encore plus effrayer Lee Jung-jae

« La plus grande série Netflix de tous les temps devient la plus grande télé-réalité de tous les temps », révélait la plateforme de streaming l’été dernier. Avide de dollars, Netflix ne s’embarrasse pas de morale et décide de recréer Squid Game « en vrai ». Le géant du streaming a donc lancé un grand casting pour sélectionner 456 candidats de par le monde qui s’affronteront dans des jeux du même calibre que ceux montrés dans la série afin de remporter un pactole estimé à 4,56 millions de dollars. Quelques conditions néanmoins pour rejoindre la télé-réalité : parler anglais, avoir plus de 21 ans et un passeport valide, en plus de n’avoir jamais travaillé pour Netflix. De quoi alimenter les cauchemars de Lee Jung-jae !