Cette commerçante envoie une petite culotte à Jean Castex… et il lui a répondu

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A travers une action nationale une commerçante avait interpellé Jean Castex. Elle a depuis reçu un courrier sans surprise en guise de réponse.

   
Des gérants de boutiques interpellent Jean Castex
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En avril dernier, une gérante de boutique, avait envoyé une culotte en dentelle à Jean Castex pour demander la réouverture de son commerce “non essentiel” et le cabinet du ministre lui a répondu. 

Situation insolite, une commerçante qui avait envoyé de la lingerie au premier ministre dans le cadre d’une action nationale vient de recevoir une réponse de la part du chef de cabinet de Jean Castex. Cathy Le Boucher lui demandait notamment d’autoriser la réouverture de commerces “non essentiels” comme sa boutique de lingerie.

Une action nationale qui remonte à avril 2021

Lors d’une action nationale (action culottée), Cathy Le Boucher, gérante d’Ariane Lingerie en Mayenne avait envoyé une petite culotte à Jean Castex. Une action symbolique suivie par de nombreux vendeurs de lingeries et d’articles de bains pour demander la réouverture de leurs commerces alors considérés comme non essentiels.

Pour donner suite à sa lettre, Cathy Le Boucher a reçu un courrier de la part du chef de cabinet de Jean Castex qui a laissé de marbre la gérante de boutique. “Il aurait pu économiser un timbre », a-t-elle expliqué à Ouest France. En effet, elle estime qu’il s’agit d’un “courrier type envoyé à toutes les actions culottées sans solutions concrètes.”

Une réouverture des magasins très attendue

Dans le courrier on peut lire “ Monsieur Jean Castex a bien pris connaissance de votre témoignage et sait les difficultés que vous rencontrez”, avant de rappeler que “notre pays est touché par une crise sanitaire qui nous contraint à prendre des mesures restrictives”. Pour conclure, le chef de cabinet rappelle à la commerçante qu’elle sera autorisée à rouvrir sa boutique en même temps que d’autres le 19 mai.

Quoi qu’il en soit, la commerçante se prépare à la réouverture. Elle dit se sentir “mitigée” car “Le temps ne semble pas de la partie et nous avons beaucoup de stocks. Nous avons hâte que tous les restaurants rouvrent pour que notre ville reprenne vie car ils apportent beaucoup de trafic le midi !”.

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