La défaite des Bleus célébrée en Corse (vidéo)

Corse vs Bleus
Le revers de l’équipe de France en finale de la Coupe du monde ce dimanche face à l’Argentine n’a pas fait que des malheureux en Corse.

D’aucuns en Corse cultivent une réelle aversion pour la France et ses symboles. Les Bleus en sont un, alors la défaite des hommes de Didier Deschamps au profit de l’Albiceleste, ce dimanche au Qatar, en finale de la Coupe du monde, a pu donner lieu à des scènes de liesse sur l’Ile de Beauté.

 

Les supporters des Bleus ne se sont pas éternisés à l’issue de la séance de tirs au but malheureuse, laissant place dans les rues de Bastia et d’Ajaccio aux supporters argentins d’un soir. « Des défilés improvisés se sont créés dans les principales artères des deux villes », note la rédaction de France 3 Corse.

 

Les traditionnels concerts de klaxons ont d’abord retenti, puis des rassemblements se sont formés, parfois aux couleurs de l’Albiceleste, à grand renfort d’engins pyrotechniques pour rendre la scène plus festive encore.

 

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    Corse vs Bleus
    La défaite des Bleus en finale du Mondial a fait des heureux en Corse.
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    Giroud vs Thuram
    Didier Deschamps a réalisé sept changements au total face à l'Argentine.
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    L’Argentine sacrée
    L'Albiceleste décroche la troisième étoile de son histoire.
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    Kylian Mbappé (France)
    Les performances du joueur font réagir.
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    Les notes des Bleus: Kylian Mbappé (8,5)
    Il entre dans la légende du football en devenant le 2e joueur à inscrire un triplé en finale d'un Mondial. Il a été bien cerné par les joueurs argentins et est passé dans l’axe à la sortie de Giroud (41e). Il n’y arrive pas plus en seconde période mais transforme le penalty du 2-1 (80e), égalise d’une reprise incroyable dans la foulée (81e) et obtient même le penalty du 3-3 d’une frappe contrée par le bras de Montiel (118e). Il a cette fois-ci tiré (et transformé) le premier tir au but français.
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    Hugo Lloris (6)
    Le capitaine des Bleus n’a pas vraiment eu à sauver les siens, il a assuré le coup sur des tentatives peu dangereuses, même s’il manque de réussite sur la reprise de Di Maria (36e). En seconde période, il sort une tentative croisée d’Alvarez (59e) et une frappe de Messi (90e+5). Il n’a pas fait de miracle lors des tirs au but, mais c’est sans surprise…
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    Jules Koundé (4)
    Il n’a jamais lâché, jusqu’au bout des 120 minutes. Mais il a bien subi face à Di Maria en première période (sans faire de faute sur le gaucher passé par le PSG avant la 41e). Offensivement, cela a été un peu compliqué en seconde période lorsqu’il a dû prendre le couloir. Deschamps aura raté son coup en ne prenant aucun autre latéral droit que Pavard.
  • 8/17
    Raphaël Varane (4,5)
    Sur les appels de d’Alvarez, sa vitesse lui a permis de contrôler le jeune attaquant de Manchester City. Il a été beaucoup moins déterminant sur les attaques placées de l’Abiceleste. Il est largué sur le 3e but (108e), mais c’est au bout de la rencontre et il sort complètement KO.
  • 9/17
    Dayot Upamecano (6)
    Serein, peu mis en difficultés. S’il n’a pas eu à gérer Alvarez dans sa zone, il a surtout repoussé Messi à deux reprises en première (33e et 39e). Il réalise un retour exceptionnel pour sauver les siens en milieu de prolongation (105e).
  • 10/17
    Théo Hernandez (4)
    Deux (voire 3) pertes de balle en début de match qui auraient pu coûter cher aux Bleus. Cela a fragilisé son équipe face à une excellente Argentine en première période. Offensivement, il a souvent été bloqué par Mbappé devant lui. Il est fauché sur un débordement qui sanctionne (19e). Sorti à la 71e.
  • 11/17
    Antoine Griezmann (4)
    Actif défensivement d’entrée de jeu, il a même été le seul à se démener en début de match. Par contre, dans le jeu, il n’a pas été en réussite techniquement et ses appels axe droit n’ont rien donné cette fois-ci. Remplacé à la 71e minute.
  • 12/17
    Aurélien Tchouaméni (4)
    Heureusement qu’il s’est rattrapé au retour des vestiaires en étant plus protagoniste à la relance. Dans sa position de 6, il s’est clairement caché en début de match. Il a senti les coups à la récupération, comme souvent, mais lâche Mac Allister qui file offrir le 2e but à Di Maria (36e).
  • 13/17
    Adrien Rabiot (4,5)
    Il s’est bien battu dans l’entrejeu face à des milieux argentins agressifs et s’arrache pour enlever un 2e but à Messi (60e). A la relance, il a joué avec trop d’assurance, sans éclair de génie.
  • 14/17
    Ousmane Dembélé (2)
    Un bien mauvais « Dembouz ». Toujours aussi motivé défensivement, il manque toutefois de lucidité sur plusieurs situations et fait tomber Di Maria pour le penalty du 1-0 argentin (22e). Il avait manqué d’intelligence de jeu sur les derniers matches, cette fois-ci, il est passé au travers techniquement. Ce qui est une catastrophe pour un joueur aussi bon dans ce domaine. Remplacé dès la 41e comme Giroud.
  • 15/17
    Olivier Giroud (3)
    Il est sorti avant la mi-temps (41e), complètement dépité. Il n’a pas été très utilisé en tant que pivot, mais s’est battu sur les rares ballons qu’on lui a envoyés. Il envoie une tête au-dessus pour la seule situation tricolore de la première période (sanctionnée d’une faute, 20e).
  • 16/17
    Randal Kolo Muani (7)
    Quelle finale pour l’attaquant de 24 ans. Il aurait pu être un héros historique en marquant le but en or dans le temps additionnel de la prolongation (120e+2) ! Lancé à la 41e sur l’aile droite, le joueur formé au FC Nantes a tout de suite tenté de percuter, sans peur. Il va chercher le penalty qui relance tout (79e).
  • 17/17
    Marcus Thuram (5)
    Entré sur la gauche à la 41e minute, il ne parvient pas vraiment à se faufiler entre les défenseurs adverses ballon au pied. Discret, il réalise le une-deux sur l’égalisation de Mbappé (82e).
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À propos de l'auteur
Yannick Sagorin
Alias « Sago ». Le roc de la rédac. Capitaine de (presque) toutes vos soirées sur Sports.fr, Yannick est le seul médaillé olympique de l’équipe. Un souvenir de Rio. À son palmarès également, une licence en F1 option WRC et un master en Ligue 1, un championnat dont il adore vous raconter les rebondissements. Point faible: son club de cœur.