A 83 ans, il enterre 42 bus pour s’y réfugier et dévoile l'intérieur

Ce vieillard a acheté des vieux autobus scolaires…pour les enterrer dans le sol. Mais pour quelles raisons l’homme vivant a-t-il fait cela ?

Un secret bien gardé( 1/35 )

Malgré ses 83 ans, Bruce Beach compte bien se faire entendre avec son projet. Durant des années, il achète des vieux autobus scolaires…pour les enterrer dans le sol. Mais pour quelles raisons l’homme vivant au Canada fait-il cela?
Et pourquoi a-t-il été poursuivi en justice pour ses constructions ? En lisant cet article, vous aurez réponse à toutes ces questions. Au début des années 1980, dans les régions rurales du Canada, Bruce Beach a entrepris une activité étrange.
2( 2/35 )

Son projet consistait à acheter secrètement des autobus scolaire. Son but? L’homme les enterre par la suite dans différents endroits de la région. Entre critiques et éloges, sans oublier les interventions des forces de l’ordre, une chose est certaine, Bruce Beach attise la curiosité.
Peu connu, l’homme fait quand même parler de lui et tous ceux qui ont entendu parler de son projet ont un avis bien tranché. Quel est donc son véritable projet et pourquoi il divise ses voisins ? Vous n’allez simplement pas en croire vos yeux.
La révélation( 3/35 )

Ce n’est que récemment que Bruce Beach a décidé de lever entièrement le voile sur son projet qui a duré des années. Le monde entier peut désormais découvrir pourquoi il a acheté puis enterré des autobus scolaires durant ces nombreuses années de travail acharné.
Vous allez enfin comprendre pourquoi ce vieillard a acheté puis mis 42 bus scolaires six pieds sous terre. Les raisons qui l’ont poussé à entreprendre cette folle aventure a fait le tour du monde et des médias, et on a encore du mal à y croire.
Un vécu qui explique tout( 4/35 )

Né au Kansas en 1934, Bruce Beach n’a pas connu une vie facile. Après les horreurs de la guerre du Vietnam sans oublier les tensions de la Guerre Froide, il décide de déménager avec son épouse au Canada.
Considérant le pays comme plus sécuritaire, Bruce Beach n’oublie pas son souhait de vivre en paix. Il a remué ciel et terre pour tenter d’échapper à son passé de soldat qui a réellement changé sa vie. Après la guerre, plus rien n’était comme avant.
Des menaces( 5/35 )

A la fin des années 70, Bruce Beach craint la menace d’une guerre nucléaire entre la Russie et les Etats-Unis. Pour contrer ce risque, il entreprend un grand projet de vie. Un projet pharaonique qui lui tiendra à cœur comme jamais auparavant.
Au lieu d’attendre que cela se produise, l’homme préfère anticiper et prendre les devants d’une menace fatale. C’est exactement ce qu’a fait le vieillard, qui n’a pas lésiné sur les moyens pour mettre en œuvre son projet.
Le projet( 6/35 )

Son projet commence à prendre forme. Baptisé “Ark Two” – signifiant “La deuxième arche” – sa construction peut enfin commencer. Durant plusieurs années, Bruce Beach n’a laissé personne indifférent avec son projet et encore plus depuis qu’il a tout expliqué au monde entier.
Si vous êtes arrivé jusqu’ici, vous commencez certainement à comprendre pourquoi Bruce Beach a eu l’idée de rassembler autant de véhicules avant que la catastrophe nucléaire de la guerre froide n’arrive. Non ? Ce n’est pas grave, continuons.
Le village canadien de Horning’s Mills( 7/35 )

Au début des années 1970, Bruce Beach dit au revoir aux Etats-Unis pour emménager dans le village canadien de Horning’s Hills. Accompagné de sa femme, l’homme prend la route sans se retourner et sans regrets de tout quitter.
Situé à environ 1h30 de Toronto, Horning’s Mills est un village assez isolé mais pittoresque. Une zone parfaite pour éviter les menaces de la Guerre Froide. Dix ans plus tard, il arrive à esquisser son plan détaillé.
En mode construction( 8/35 )

Dès 1980, Bruce Beach débute son grand projet. Pour se faire, il décide d’acheter des vieux autobus scolaires. Pour la modique somme de 300$ par autobus, l’homme ne veut pas changer le moteur ou refaire la peinture, mais les achète plus pour leur structure solide et ingénieuse.
En effet, il n’avait pas besoin que les bus soient en état de marche, simplement que la carrosserie soit sans trous et dans un état intérieur pas trop détérioré. Ces deux paramètres étaient très importants pour son projet.
Une belle collection( 9/35 )

En plusieurs années de construction et d’acquisition, Bruce Beach réussit à accumuler une belle collection de 42 autobus scolaires. Il les entrepose dans un ancien terrain, proche de chez lui. La photographie aérienne parle d’elle-même.
En 1985, l’homme est prêt pour la prochaine étape de son grand projet de vie. Mais pourquoi avait-il besoin d’amasser autant de bus scolaire ? C’est une question qu’il s’était posé lui-même avant de démarrer ses recherches dans la région.
Que des bus scolaires( 10/35 )

Pour son projet à Horning’s Mills, Bruce Beach avait les idées claires et un plan très précis. Les autobus scolaires étaient l’outil parfaits car ils sont spacieux et ouverts. Evidemment, Bruce avait prévu d’enlever tous les sièges afin de les rendre encore plus grands.
Grâce à des lois strictes, leurs toits sont renforcés par des poutres d’acier, afin qu’ils soient plus sûrs pour les enfants. Un avantage permettant pour ces bus de porter beaucoup de poids sur leur toit. C’était exactement ce qu’il lui fallait.
Un long processus( 11/35 )

La patience a été de mise pour Bruce Beach… L’homme a tout de même réussi à installer les autobus scolaires en formation serrée dans son domaine de 5 hectares. C’était comme jouer à Tétris, mais dans la vraie vie et avec des objets pesant plusieurs tonnes.
Le découpage de châssis était de mise afin de construire des corridors, d’agrandir les espaces de stockage ou encore créer des cloisons. Il fallait que les bus se suivent et que le tout fasse comme un grand couloir afin de permettre la circulation des biens et des marchandises.
Une aide précieuse( 12/35 )

Bruce Beach a pu compter sur une aide précieuse. L’homme n’était pas seul pour les premiers travaux, et un petit groupe de bénévoles a commencé à se former. Partageant les mêmes valeurs, ce groupe a su suivre Bruce Beach dans ses ambitions.
Une aide non négligeable pour rendre réels ses rêves les plus fous. En effet, il n’aurais jamais pu réaliser ce projet seul, dans la mesure où il demande de la force physique, mais également mentale afin d’arriver jusqu’au bout.
Nouvelle vie aux autobus( 13/35 )

Bruce Beach a su redonner une seconde vie aux autobus scolaires. Malgré les années qui ont passé, son travail peut être récompensé. L’étape suivant a enfin pointé le bout de son nez et il était impatient de pouvoir continuer à avancer.
Après l’assurance du châssis étanche, Bruce Beach a commencé à couler le béton sur la structure, afin d’enfermer à jamais la substance épaisse. Le béton dur et sec, Bruce a pu recouvrir sa construction de 4 mètres de terre. Invisible par les visiteurs extérieurs, mais sécurisé sous une couche de béton et de terre, sa structure peut commencer à prendre vie.
Un rêve de survie( 14/35 )

La construction initiale de Bruce Beach prend vie et s’achève. Avec plus de 1000 mètres carrés de bunker invisible, l’homme promet d’abriter plus de 500 personnes dans sa structure. Une véritable ville souterraine qui devient réalité.
Le méga-complexe d’autobus scolaires est considéré comme l’une des plus grandes structures souterraines en Amérique du Nord. Une grande fierté pour Bruce Beach. Mais le combat n’est pas fini et quelques batailles font leur arrivée…
Une minutie saine( 15/35 )

L’amas des autobus scolaires accompagné de grande dose de béton et de terre peuvent sembler dangereux, mais Bruce Beach a su rendre sa structure très sécurisée. Ark Two est le projet d’un passionné, et Bruce a su s’entourer des meilleures personnes pour rendre vie à son projet.
Il a notamment demandé conseil à l’ingénieur qui a conçu le réseau de métro à Toronto, qui a pu modifier et approuver sa structure finale. Une aide précieuse qui a donné de nouvelles perspectives à son projet pharaonique.
Développer une communauté( 16/35 )

Bruce Beach a eu l’idée et l’initiative d’Ark Two mais ce projet est le fruit de plusieurs personnes. La détermination de l’Américain a fortement joué mais le groupe de bénévole a été d’une aide indéniable pour réaliser la structure.
Au moins 50 personnes de Horning’s Mills, sans oublier les membres de la communauté survivaliste, ont su aider Bruce. Mais pourquoi avoir pris part à ce projet insensé ? Que recherchaient les participants à cette aventure hors du commun ?
Gagner sa place( 17/35 )

La première motivation du groupe de bénévole a été sans aucun doute d’avoir sa place garantie dans l’énorme bunker. Une fois fini, Ark Two pouvait donc accueillir les membres qui ont participé à sa construction. Un avantage non négligeable en cas de guerre nucléaire.
Les bénévoles continuent d’entretenir la structure durant quelques week-ends par an, afin de conserver leur place si jamais le monde venait à s’effondrer. C’était leur manière à eux d’assurer leur place dans un des endroits les plus sécurisés du monde.
Un accès difficile( 18/35 )

Pour entrer dans Ark Two, il ne suffit pas de pousser une porte. L’accès est plus difficile qu’on ne le pense. Pour se faire, il faut d’abord obtenir un accès à l’avance. Une fois l’accès accordé l’entrée reste une belle épreuve.
La porte rouillée est la première étape, avant de descendre jusqu’à 4 mètres de profondeur pour atteindre l’espace de vie. Il n’était pas question d’installer un ascenseur, outil très incertain en cas de catastrophe nucléaire.
La propreté comme règle de base( 19/35 )

Être protégé des attaques nucléaires est une chose, mais survivre au sein d’Ark Two en est une autre. A pleine capacité, la structure présente quelques risques pour les occupants s’ils ne respectent pas les règles de base.
A l’intérieur, une personne malade pourrait être fatal au groupe. Mais comment prévenir de l’entrée des personnes contaminées? Fallait-il établir un protocole stricte pour éviter tout problème sanitaire ? La question était sur la table.
Décontamination obligatoire( 20/35 )

Pour éviter tout risque, Bruce Beach a pensé à tout. A l’entrée d’Ark Two, une chambre de décontamination est présente. Avec un double lavabo en acier inoxydable, une douche et une zone de décontamination des aliments, Bruce était définitivement prêt pour toutes les situations.
La chambre de décontamination permet une zone saine dans le bunker étudié pour vivre dans les meilleures conditions de survie. Il fallait que le plan soit parfait, parce qu’une faille dans le système peut tout dérégler et mettre à mal le plan.
La survie calculée( 21/35 )

Entrer dans le bunker est une première étape, mais la survie est un autre challenge. Heureusement, Bruce Beach a su penser à tous les moindres détails. Ark Two dispose d’un accès à l’eau douce, avec une plomberie innovante.
Une fosse sceptique industrielle et le puits remplit d’eau potable permet une survie adéquate. Pour l’électricité, l’abri dispose de plusieurs groupes électrogènes diesel et assez de carburant pour un fonctionnement continu pour trois mois. Assez convaincant pour les autres survivants ?
Les “Preppers” reconnaissent le bon travail( 22/35 )

Bruce Beach fait partie des “Preppers”, une communauté internationale qui croient en l’arrivée imminente d’une catastrophe et qui s’y prépare. Concernant Ark Two, la communauté semble épatée. Un membre du Réseau ontarien de survie des Preppers a notamment déclaré:
“Quand vous entrez dans le bunker pour la première fois, c’est une autre planète. C’est comme si tu étais sur Mars. Quand on entend parler de ce concept de 42 autobus scolaires souterrains, ce n’est rien comparé au fait d’y aller et de le voir… C’est fou là-dedans.”
La nourriture( 23/35 )

Au-delà d’une structure solide et durable, l’un des points les plus importants d’un bunker de survie est la nourriture. Afin de subvenir aux besoins des habitants d’Ark Two, Bruce Beach n’a pas fait les choses à moitié.
Avec deux cuisines industrielles, deux salles d’entreposage déjà remplies, la station souterraine est prête. Mais l’approvisionnement n’a pas été une tâche facile pour Bruce… Il a fallu beaucoup de travail pour se fournir avec le matériel nécessaire pour la cuisine.
Conserver la fraîcheur( 24/35 )

Remplir le garde-manger a été une véritable étape décisive pour Bruce Beach. Le principal obstacle? Conserver la fraîcheur des aliments. Il n’est pas simple de stocker et conserver des aliments pour 500 personnes, vous imaginez bien.
Dans une interview pour le National Post, le principal intéressé avait déclaré: “Je ne sais pas combien de tonnes de nourriture nous avons dû jeter au fil des ans”. Malgré sa minutie, même des aliments en conserve ont dû être jetés au fil des années de construction.
Quelques caractéristiques( 25/35 )

La structure et les aliments réglés, d’autres problématiques peuvent venir lors de la construction et l’organisation d’un abri pour 500 personnes. Les besoins sont larges, et Bruce Beach en a eu conscience dès le début de son projet.
Dans Ark Two, des salles de classes, un centre de radiocommunication, une bibliothèque, des salles de jours, une infirmerie et même une morge sont présents. Mais détrompez-vous, Ark Two n’est pas un lieu luxueux où il fait bon vivre… Loin de là.
Famille séparée( 26/35 )

Malgré les nombreuses facilités présentes, les concessions sont aussi visibles pour habiter dans Ark Two. Conçu pour survivre, l’abri fait passer au second plan le regroupement familial, pour le bien de la communauté.
Les dortoirs sont divisés en chambres pour hommes et femmes, ce qui signifie que les familles peuvent être séparées. Mais il y a une explication à ce choix et les habitants du bunker doivent le comprendre et l’accepter avant d’y entrer.
Les enfants d’abord( 27/35 )

Les parents sont séparés de leurs enfants, mais c’est pour privilégier les plus jeunes. En plus d’avoir pensé aux salles de classe et à la crèche, Bruce Beach a aussi construit une aire de jeux pour les enfants. Un élément essentiel pour la survie efficace de tous.
Il fallait absolument permettre aux enfants de pouvoir s’amuser et se défouler, en leur faisant oublier le monde extérieur. Si les enfants sont heureux, tout est beaucoup plus simple pour les parents et le reste de la communauté.
Garder le contact( 28/35 )

En cas de catastrophe climatique ou nucléaire, l’isolement est de mise… Mais Bruce n’empêche pas d’entrer en contact avec les autres survivants en dehors de son abri. C’était d’ailleurs un élément central de la survie, tout savoir du monde extérieur.
Pour se faire, il a équipé Ark Two d’un système de radiodiffusion, afin d’envoyer et recevoir des messages sur les fréquences AM et FM. Il s’agit du seul moyen de communication des habitants d’Ark Two avec le monde extérieur…
C’est quoi être “Preppers” ?( 29/35 )

Mais c’est quoi un “Preppers”? Comme Bruce Beach, les “Preppers” croient en un incident irréversible sur notre planète. Pour lutter contre ce changement, ils décident de survivre et de s’en donner les moyens avec un entraînement intensif et des structures adaptées à tout attaque extérieure.
Si Bruce Beach peut très bien représenter cette communauté, il n’est cela dit pas à l’aise d’être qualifié de “Preppers”… Pour lui, il s’agit avant tout d’être préparé à toute éventualité, qu’importe le nom donné aux gens qui se donnent les moyens pour survivre.
Avis mitigé( 30/35 )

Bruce Beach est très mitigé sur la notion de “Preppers”, car il estime que leur préparation à l’apocalypse est un peu individualiste. Les “Preppers” pensent davantage à leur propre survie. Bruce se distingue donc avec la construction d’un abri pouvant accueillir un demi millier de personne.
Sa sécurité personnelle n’est pas au premier plan, et Bruce préfère protéger une belle communauté. Malgré son point de vue altruiste, d’autres ont souligné quelques incohérences sur ses efforts et il trouvait ça plutôt injuste…
Illégal ?( 31/35 )

Bruce considère son projet Ark Two comme étant un service public, en déclarant à plusieurs reprises que son refuge était ouvert à tous. Mais les autorités locales ne semblent pas du même avis et ont tenté de fermer Ark Two.
Classé comme un danger public par le gouvernement de l’Ontario, Ark Two ne fait pas l’unanimité. De plus, Bruce Beach n’a pas eu de permis de construire pour débuter les travaux de son abri… Au fil des années, il a dû faire face à la justice au moins 30 fois !
Les pompiers crisent( 32/35 )

Les pompiers ne sont pas non plus très satisfaits de Ark Two, le classant comme étant à risque incendiaire. Ils ont fermé le complexe à plusieurs reprises et se sont même présentés à un rassemblement que Bruce a organisé sur sa propriété pour tenter de le fermer une fois de plus.
Bruce croit que ces tentatives de fermeture de son exploitation ne sont pas légitimes et qu’elles ne sont que des distractions, qu’elles détournent du vrai travail qu’il essaie d’accomplir. Il était persuadé d’être dans son bon droit et était déterminé à aller jusqu’au bout.
La prophétie( 33/35 )

Ayant servi dans l’armée de l’air américaine, Bruce Beach a aussi enseigné l’informatique dans un collège. Selon son expérience, la guerre nucléaire est imminente. Il est persuadé que cela se produira une fois que le Pakistan aura bombardé l’Inde.
Il avait notamment déclaré au National Post: “J’avais l’habitude de toujours dire que la fin du monde serait dans deux ans. Mais maintenant je dis que ce sera dans deux semaines – et si je me trompe, je vais revoir ma prévision.”
La sécurité avant tout( 34/35 )

Considérant Ark Two comme un projet humanitaire et altruiste, Bruce Beach prouve encore plus sa bonté en exploitant le réseau SAFE – Safe America For Everyone. Tout le monde serait donc le bienvenue dans Ark Two, indépendamment de sa religion, couleur ou autres convictions.
Pour Bruce, l’élément le plus important en survie est évidemment la mise en sécurité de la race humaine. Son objectif était très clair depuis le début : mettre le plus de gens à l’abris en cas de catastrophe pour reconstruire la monde d’après.
Pessimiste optimiste( 35/35 )

Visant la survie pour tous, Bruce Beach fait tout de même part de son pessimisme envers le monde où nous vivons. Il a notamment déclaré: “Je suis optimiste quant à l’avenir à long terme de l’humanité, mais pessimiste quant à l’avenir immédiat”.
S’il croit qu’une catastrophe est prévisible, il pense aussi que ce sera l’occasion de reconstruire une société meilleure pour un avenir plus sain. Gageons que Bruce Beach n’aura jamais à se refugier sous terre pour survivre aux folies de l’Humanité.

Précedent

Malgré ses 83 ans, Bruce Beach compte bien se faire entendre avec son projet. Durant des années, il achète des vieux autobus scolaires… pour les enterrer dans le sol. Son projet consistait à acheter secrètement des autobus scolaire. Son but ? L’homme les enterre par la suite dans différents endroits de la région. Entre critiques et éloges, sans oublier les interventions des forces de l’ordre, une chose est certaine, Bruce Beach attise la curiosité.

Un projet qui fait du bruit

Visant la survie pour tous, Bruce Beach fait tout de même part de son pessimisme envers le monde où nous vivons. Il a notamment déclaré : “Je suis optimiste quant à l’avenir à long terme de l’humanité, mais pessimiste quant à l’avenir immédiat”.

Et pourquoi a-t-il été poursuivi en justice pour ses constructions ? En lisant cette histoire, vous aurez réponse à toutes ces questions. Au début des années 1980, dans les régions rurales du Canada, Bruce Beach a entrepris une activité étrange.

Découvrez son histoire

A 83 ans, il enterre 42 bus pour s’y réfugier et dévoile l’intérieur

Zara : notre sélection shopping du printemps pour tous les âges

Sans-Valentin : classement des meilleures applis pour trouver l’amour (platonique...

CAF : APL annulée pour ces personnes qui ne respectent pas cette nouvelle condition

Un projet qui fait du bruit

A lire également :

Réagir à cet article